Le centre-ville, ça suffit ! Sa santé s’étiolant au fil des printemps, Salika s’est fait une raison. Adieu charmant nid douillet de la rue des Abeilles (1er), rénové de fond en comble à la sueur de son front. En quête d’un havre de paix, où les nuisances du voisinage ne seraient qu’un lointain souvenir, l’ancienne infirmière libérale jetait, voici deux ans, son dévolu sur les Chutes-Lavie. « J’y ai trouvé un appartement certes vieillot, mais à l’atmosphère paisible, se rappelle celle qui vit désormais seule entre quatre murs, au 20 rue Sainte-Thérèse (4e). C’était un lieu calme, j’avais besoin de cela pour me ressourcer. Malheureusement, j’ai acheté trop vite… »Juchée au troisième et dernier étage d’un bâtiment portant les stigmates de son âge avancé (est